Poésie
Lorsque je t'ai touchée pour la première fois
J'étais loin d'entrevoir tous les prochains symptômes
J'étais loin de savoir quel serait mon syndrome
Quand par mégarde j'ai fait ce pacte avec toi.
Depuis, s'il se passe un jour sans que je ne fouille
Sans que je ne sonde au plus profond de ton art
Ou que j'en reviens seul, sans un de tes trésors,
Ce jour grince sur moi dans ses heures de rouille.
Tu es ma maladie et mon meilleur remède
Tu es la pire drogue, ô, sans toi je suis mort
Mais jouir de toi ne dure, ô, c'est mon triste sort.
Tu es cet art maudit qui malgré tout m'obsède.
J'erre comme un sourcier qui cherche sans relâche,
La Source. Et qui, lorsqu'il parvient à des rigoles,
Se sent vivre un peu mais jamais ne se relâche,
Car il y a mieux, et l'Art qui le sait, rigole.
J'étais loin d'entrevoir tous les prochains symptômes
J'étais loin de savoir quel serait mon syndrome
Quand par mégarde j'ai fait ce pacte avec toi.
Depuis, s'il se passe un jour sans que je ne fouille
Sans que je ne sonde au plus profond de ton art
Ou que j'en reviens seul, sans un de tes trésors,
Ce jour grince sur moi dans ses heures de rouille.
Tu es ma maladie et mon meilleur remède
Tu es la pire drogue, ô, sans toi je suis mort
Mais jouir de toi ne dure, ô, c'est mon triste sort.
Tu es cet art maudit qui malgré tout m'obsède.
J'erre comme un sourcier qui cherche sans relâche,
La Source. Et qui, lorsqu'il parvient à des rigoles,
Se sent vivre un peu mais jamais ne se relâche,
Car il y a mieux, et l'Art qui le sait, rigole.