Le candélabre
Dans le jeu d'ombres et de lumières
Tombe un voile sombre et non sincère
Sur le précédent de nos actions
Ainsi, le preux n'aurait de sillons
Que son courage
Et le malheureux dans son naufrage
N'aurait qu'à s'en prendre à son ouvrage
Tout cela évoque un candélabre
En retrait, de la flamme qu'il porte
On ne le voit pas pourtant c'est l'hôte
D'un brasier, qui sans lui se délabre
Or une bougie vindicative
D'un gris colorie semble nocive
Ainsi, on la méprise âprement
Sans voir la cause ou l'antécédent
L'ayant poussée au comportement
La raison réside au creux de l'ombre :
Le socle branlant du candélabre.
Un frêle berceau pour cette braise
Terreau chancelant ; nœud du malaise
Mais pareille chose a son inverse :
Une belle flamme ourdit l'averse.
Et si elle éclaire un ciel d'en haut
C'est car son terreau est un hublot
Tombe un voile sombre et non sincère
Sur le précédent de nos actions
Ainsi, le preux n'aurait de sillons
Que son courage
Et le malheureux dans son naufrage
N'aurait qu'à s'en prendre à son ouvrage
Tout cela évoque un candélabre
En retrait, de la flamme qu'il porte
On ne le voit pas pourtant c'est l'hôte
D'un brasier, qui sans lui se délabre
Or une bougie vindicative
D'un gris colorie semble nocive
Ainsi, on la méprise âprement
Sans voir la cause ou l'antécédent
L'ayant poussée au comportement
La raison réside au creux de l'ombre :
Le socle branlant du candélabre.
Un frêle berceau pour cette braise
Terreau chancelant ; nœud du malaise
Mais pareille chose a son inverse :
Une belle flamme ourdit l'averse.
Et si elle éclaire un ciel d'en haut
C'est car son terreau est un hublot